La Bol à Léon !

Le CT dans l'après-midi ... la 77 me mettait 50 Km/h bien fait au bout de la grande ligne droite .

Félicitation pour les résultat
Bravo aussi pour les photos, de bien belles bêtes.

Si vous faites attention, après +/- 40 secondes, on voit https://www.youtube.com/watch?v=L5RCiWeaLlk&NR=1&feature=endscreen passer Léon!!!

On voit bien le style LEON

bien droit sur mon poney zaune hop hop hop

Michel qui va encore me gronder alors, que je devrai déhancher etc et pas faire frotter le couvercle d'allumage .

QQ photos pour me faire pardonner...

Je pense que cette dernière a joué les reporter malchanceux dans la vidéo...

Léon.

Samedi matin départ pour Oss, 180 km en compagnie de Marc et de son frère qui s’occupera de la logistique.

Vite installé dans une prairie bordant le « circuit » nous seront aux premières loges pour voir le balai des … balayeuses qui tourneront jusqu’au soir pour enlever toute trace de sable et de boue.

Trop impatient nous partons pour un tour de reconnaissance à pied, deux longues lignes droites, des chicanes, des freinages sur l’angle, un îlot directionnel c’est plat mais varié. La signalétique est parfaite, la sécurité optimale avec des dégagements et des grands boudins remplis d’air. Une construction nous interpelle, un échafaudage monté sur un canal de drainage avec de grands filets placé à l’horizontale ? Ah oui si je rate mon freinage…oups.



C’est le dimanche et lundi que les essais et courses auront lieu.

Pour nous le dimanche, timing et info contradictoires vont se succéder, mais le staff de SAM motorsport vient s’installer à nos côté. Le CT est assez folklorique, l’éclairage obligatoire (plusieurs concurrents installent un feu ar de bicyclette ! Le fil pour freiner est demandé pour le remplissage d’huile (notre contrôleur n’a jamais vu autant de vis freinées que sur ma Bol…).



Une heure avant le départ, essais. Mais d’abord grosse transhumance avec mécano, coéquipier, accompagnants, chariotes remplies de jerricans, des béquilles, des transats, des glacières + les motos … Exode à travers les champs, chemins et petits ponts vers un endroit appelé « petite laine » mais il fait grand soleil et personne ne pense à s’énerver ou à râler.



Je monte en piste pour … me rendre compte que les freins av sont à rôder d’urgence, mais le moteur fonctionne bien et la moto veut bien virer. Après deux tours j’ai devant moi un con curent qui arrose la piste par 4 petits tuyaux, je décide de rentrer. Marc prévenu termine la séance.



Le temps de refaire le plein (ici on ravitaille parfois encore avec un arrosoir équipé d’une plaque de plexi !!!). On nous envoie vers la grille de départ type Le Man (notre position a été tirée au sort … bingo 34). Pas facile de caser les 49 machines, donc serrez-vous, mon voisin sur sa Laverda grimpe par la droite, moi pas…mais il est jeune et sa moto démarre pas aussi bien, bon prince alors… Départ c’est le bouchon prévisible mais personne ne se touche.



La joyeuse kermesse a démarré, GP pour certains, slow dance pour d’autres, mais la piste fait 7m presque partout. Nous roulons, nous apprenons, le temps est sec et frais. Ravitaillements et vérif. du niveau d’huile, parfait. Jacques, comme tout le we, est au petit soin pour nous.

Première moitié de course, la pic l’aime se vide (soucis mécanique et chutes). On est toujours là avec un embrayage qui patine (on soulage) et un poignet gauche qui chauffe (on pense à une mobylette ?). La bobol est bien maniable et les Conti nous contiennent.



Marc me ramène déjà la moto pour le dernier relais. On allume le phare, mon poignet 3 tours plus tard, la visibilité restera bonne malgré la nuit qui tombe avec le baissé de drapeau. Ouf mission accomplie elle+nous avons tenu, grand coucou au commissaires et je retrouve un sanglier égaré mais HEUREUX (je lui confie les commandes, j’ai plus de poigne).



Nous allons aux podium/résultats, nos amis flamands (ex Dholda) (Paul et Bart) finissent 2° mais sont introuvables… Merci Marc (un sanglier dans le noir…) de les avoir ramené. Et nous en 9° place avec 74 tours parcourus à 7500 t /min, très peu d’essence, 0.6 L d’huile, une ampoule AR. Le calcul du classement se fait sur la régularité des 2 coéquipiers, le 1° c’est une V50 (homme et femme), en 3 c’est … la Cagiva Eléphant.



Vive les Pinksterraces Oss !

Bon résumé bien détaillé , la "KERMESSE" a apporté son lot de satisfaction pour beaucoup de motards divers et variés , pas une vraie course mais du moment que l'on se fait plaisir..................

Histoire de faire avancer le schmillblick...
Et de donner un peu plus de souplesse à ma fourche de GPZ, j'ai suivi les conseils de R O G E R  ....... les fraisages dans les plaquettes sont passés à 4,5 mm au lieu des 3 cf sur photo, ensuite essais et cela fonctionne bien mieux.
Pour les ressorts je laisse ceux de 1100 fatigués (donc avachis  ) dans fourche de 750 (pas même longueur). Et pour l'huile je garde la 20 (faut pas le dire à Roger  ). Ai trop peur d'assouplir trop et de frotter de partout...

Je vais aussi essayer de remplacer les ressorts de amortisseurs Hagon par ceux de mes Koni-pourri (même cotes).

QUI A CONSTRUIT UN COMPRESSEUR DE RESSORT QUI MARCHE    POUR POUVOIR M'EN INSPIRER      ET DEMONTER !

J"attends vos photos/croquis = déjà merchi.

Léon

Pour la fourche , ya pas b'soin d'un compresseur de ressorts
par contre les amortos , avec une sangle à cliquet,...................

  un p'tit à 10/15€...

Merci à vous .
Sandro, tu arrives à les mettre dans les spires des ressorts ? Tu trouves cela sur le net ?
Léon.

Demande à GOOGLE : compresseurs de ressorts moto................

http://www.bricoroom.fr/1521-2-compresseurs-de-ressorts-300mm.html

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  moi ca vient de la brocante à SPA,,,

 et ca passe c'était beau!!!...